1. La réduction de l’impact sur l’environnement et la prévention des pollutions.
2. La réduction du risque au travail et la baisse de la pénibilité des postes.
3. L’amélioration de la productivité de l’activité et du site industriel.
Etre autarcique par rapport à l’eau (autant pour les consommations que pour les rejets) :
- La société Pocheco récupère des eaux de pluie grâce à une toiture végétalisée de 2600m2 et des cuves souterraines de 100m3. La toiture végétalisée, plantée de sedums locaux capte l’eau de pluie, isole thermiquement et phoniquement l’usine et apporte de la biodiversité sur le site. La végétalisation agit comme un tampon et épargne les stations d’épuration lors des fortes précipitations.
- Plus de 80% de l’eau utilisée dans l’usine est l’eau de pluie. Seulement 200m3/an d’eau de réseau est encore consommé sur le site pour les douches et le lavage des mains.
- La société utilise l’eau de pluie dans les sanitaires (350m3), pour le nettoyage des machines (350m3), pour le rafraîchissement de l’air des bâtiments (300m3) par bio-climatisation et pour l’arrosage des espaces verts (300m3).
- Pocheco a supprimé la prestation de traitement des eaux du process par une entreprise externe. Ils ont installé une écostation d’épuration par bambou sur le site. Le bassin de 200m3comporte 80 pieds de bambou. Les eaux usées sont rejetées dans ce bassin et les bambous se nourrissent des molécules d’encre dans l’eau.
- Afin de suivre les conseils de l’Agence de l’Eau qui préconise que la goutte d’eau doit infiltrer le sol là où elle tombe, Pocheco perméabilise son site. La société a planté un verger conservatoire, des voiries végétalisées et d’autres espaces verts. 40 % du site est perméabilisé contrairement à 4 % en 2004.
Elodie BIA, 03 20 61 90 89
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